Le 02/06/2009 :Oh que oui j’aime bien latter ! Mais heureusement Thomas nous a prêté un Cloueur autonome à gaz spécial charpentiers/couvreurs pour latter, c’est vraiment pratique (désolé mais on a tiré un peu en l’air pour la distance du parcours du clou, à part un avion de chasse nous n’avons rien cassé). Nous avons mis d’abord des lattes dans le sens des chevrons contre lattage, et ensuite par rapport au pureau de mes tuiles dans le sens des pannes, à savoir que ma tuile a un pureau variable avec un mini et un maxi, donc nous avons pris la longueur du pan (gouttière jusqu’à la pointe du toit « faitage »), et divisé par la moyenne du pureau donnée par le constructeur de mes tuiles, et voila le nombres de rangées (c’est une explication rapide pour vous éclairer sur le procédé). Ensuite, après traçage au cordeau pour avoir le sens de lattage, nous avons latté à l’aide d’un gabarit fabriqué par Adri avec une latte (voir la vidéo). Comme j’ai un décalage par rapport au toit de mon garage et au toit de la maison, il a fallu prendre en compte ce problème, afin de latter des rangées assez symétriques vues du bas ! Bref clouter, cloutage, c’est tellement de clous, c’est impressionnant ! Et bien sur il a fallu une tronçonneuse pour couper les lattes, afin qu’elles viennent en jonction au niveau des chevrons.

